Sous la responsabilité du professeur
Robert FAURISSON
1er juin 1995:
MILICES JUIVES : QUINZE ANS -- ET PLUS -- DE
TERRORISME, EN FRANCE
Dans sa livraison de juin 1991, le mensuel Le Choc du mois publiait
une étude intitulée: Milices juives / Quinze ans de terrorisme (p.
7-13 sur quatre colonnes). Le sous-titre en était le suivant:
Groupe d'action juive, Organisation juive de combat, Organisation
juive de défense. Sous ces diverses appellations, des activistes
juifs ne cessent depuis une quinzaine d'années de semer la terreur,
dans la plus totale impunité. Des provocations qui n'ont d'autre
but que de susciter des représailles. Comme si certains voulaient
que la communauté juive se sente menacée (p. 7)
L'étude passe en revue, du 19 juin 1976 au 20 avril 1991, cinquante
cas d'agressions physiques commises par des juifs organisés en groupes.
Ne sont donc pas mentionnées les agressions physiques, de toute
façon assez rares, commises par des individualités juives.
Dans les cinquante cas répertoriés par Le Choc du mois, les victimes
se sont comptées par centaines. Chez les victimes de ces milices
on relève : mort d'homme, blessures suivies de coma profond, infirmités
à vie, séquelles graves ainsi que vitriolage, commission d'actes
de barbarie, il crevé, tabassage en règle en la présence de policiers
ou de gardes refusant d'intervenir, nombreuses hospitalisations,
nombreux guet-apens, dont un, au moins, avec la complicité de la
presse (cas du journal Libération). La plupart de ces agressions
sont passées sous silence par les médias ou brièvement rapportées.
Certaines sont approuvées par des publications ou des organisations
juives qui, en général, après quelques mots de réprobation, donnent
à entendre que les victimes méritent leur sort, que c'est naturel
et normal et qu'il ne faut s'attendre, dans l'avenir, à aucune indulgence
si jamais on suscite à nouveau la colère des juifs.
Il est remarquable que pas un seul juif n'ait été, en revanche,
la victime d'une seule attaque d'un seul groupe dit d'extrême droite
ou révisionniste (puisque, aussi bien, la presse fait l'amalgame
entre révisionnisme et extrême droite alors que le révisionnisme
historique est, en réalité, un phénomène qui intéresse tous les
groupes de pensée, de l'ultra-gauche à l'extrême droite en passant
par tous les partis, sauf le parti communiste, et cela sans compter
les apolitiques. Paul Rassinier, fondateur du révisionnisme historique
en France, était socialiste).
Parmi les attaques ou les agressions commises par des milices ou
des organisations juives, on se bornera à citer celles dont ont
été victimes François Duprat, un colloque du GRECE, Marc Fredriksen,
Charles Bousquet et, à nouveau, Mark Fredriksen, Michel Caignet,
Pierre Sidos, Olivier Mathieu, Pierre Guillaume, les Amis de Saint-Loup
et Robert Faurisson. Beaucoup d'autres cas seraient à citer de 1976
(où, le 2 novembre, l'immeuble dans lequel habitait Jean-Marie Le
Pen devra être entièrement détruit après avoir été ébranlé sur cinq
étages lors d'un attentat à la dynamite revendiqué par un Groupe
du souvenir juif ) jusqu'à 1991 (où, le 2 avril, Fabrice Benichou,
vendeur à la criée d'un journal de Jean-Edern Hallier, meurt à son
domicile après avoir été roué de coups dans le quartier juif du
Sentier à Paris).
François Duprat
Membre de la direction du Front national, auteur et diffuseur
d'écrits révisionnistes, F. Duprat a été tué le 18 mars 1978 dans
sa voiture par l'explosion d'une bombe sophistiquée. Sa femme a
été grièvement blessée. L'attentat est revendiqué par un Commando
du souvenir. En accord avec Serge et Beate Klarsfeld, l'escroc Patrice
Chairoff avait publié, dans Dossier néo-nazismeLe Monde, 23 mars
1978, p. 7; 26 avril 1978, p. 9).
Le Droit de vivre, organe de la Ligue contre le racisme
et l'antisémitisme (LICA devenue, par la suite, LICRA), Jean Pierre-Bloch,
directeur de cet organe et de cette publication, commente l'assassinat
de F. Duprat sans dire un mot du sort de Mme Duprat. Son commentaire
reflète une mentalité cabalistique: J. Pierre-Bloch affecte de réprouver
un crime inqualifiable mais, pour lui, ce crime est dû au fait que,
à l'en croire, s'installent en France en ces années 1977/78 l'anarchie
et le règne du règlement de comptes politique et que des appels
criminels sont lancés contre les immigrés, des juifs ou des tziganes.
On aura noté que J. Pierre-Bloch met ici en regard des actions criminelles
incontestables avec des criminels dont il n'indique ni la teneur
ni les conséquences dans la réalité. Plus révélateur encore est
le passage suivant de sa déclaration: Oui, c'est vrai ; nous sommes
prêts à nous battre et à mourir pour permettre à nos adversaires
de dire ce qu'ils pensent en toute liberté, dès lors qu'ils ne font
pas l'apologie du crime ou qu'ils n'entretiennent pas la haine raciale.
Replacés dans le contexte d'un assassinat précis, ces mots constituent
un avertissement à l'endroit de ceux qui pourraient déplaire aux
juifs en suivant l'exemple de F. Duprat (Le Monde, 7/8 mai 1978).
D'ailleurs, quelques mois plus tard, J. Pierre-Bloch,
décrivant le professeur Faurisson comme un émule de Louis Darquier
de Pellepoix, ancien commissaire général aux Questions juives dans
le Gouvernement de Vichy, annonçait: Darquier sera extradé. Ceux
qui marchent sur ses traces ne feront pas d'aussi vieux os. Tôt
ou tard, ils trouvront les antiracistes sur leur route (Le Droit
de vivre, décembre 1978, p. 23). La LICRA a été fondée en 1927 par
Bernard Lecache sous le nom de Ligue contre les pogroms pour défendre
un juif russe qui, l'année précédente, avait assassiné à Paris le
général ukrainien Simon Petlioura. Le tapage mené en faveur de l'assassin
amena à son acquittement ; le même genre de tapage devait beaucoup
plus tard conduire à d'autres acquittements d'assassins (par exemple,
le 5 mai 1976, l'acquittement du braqueur et assassin Pierre Goldmann).
Dans une chronique du Monde, le journaliste Pierre
Viansson-Ponté se livrera à une opération de pure délation au sujet
d'une brochure révisionniste anglaise qui avait été diffusée en
France par F. Duprat; dans cette chronique il s'abstiendra de toute
allusion à l'assassinat de F. Duprat ( Le mensonge (suite), Le Monde
, 3/4 septembre 1978, p. 9).
Un colloque
du GRECE
Le 9 décembre 1979, le XIVe colloque national
du GRECE (Groupe d'études et de recherches sur la civilisation européenne)
est attaqué par une centaine d'individus casqués qui saccagent des
stands de livres. Ces individus déploient des calicots portant le
nom de l' Organisation juive de défense (OJD). Une quinzaine de
participants sont blessés. L'un d'entre eux perdra un il. Plusieurs
assaillants sont arrêtés par la police, puis relâchés le soir-même
sur l'intervention de Jean-Pierre Pierre-Bloch, fils de J. Pierre-Bloch
et ami de Jacques Chirac. Jean-Pierre Pierre-Bloch avait été et
sera, par la suite, impliqué dans d'autres agressions ou d'autres
interventions en faveur d'agresseurs identiques.
Marc
Fredriksen
Le 19 septembre 1980, un commando de l' Organisation
juive de défense (OJD) attaque au Palais de justice de Paris des
sympathisants de Marc Fredriksen, responsable de la FANE (Fédération
d'action nationale et européenne). On relève six blessés, dont deux
graves. Les gardes du Palais de justice, pourtant chargés du maintien
de l'ordre, laissent, en fait, agir, librement ou plus ou moins
librement, les milices juives dans cette circonstance comme dans
toutes les autres circonstances identiques. Quant à Jean Pierre-Bloch,
il déclarera: La loi du talion pourrait réapparaître [ ]. Si un
seul des nôtres est touché, nous appliquerons la formule : il pour
il, dent pour dent [ ]. S'il faut nous organiser militairement nous
le ferons (Le Monde, 1er octobre 1980). La formule Si un seul des
nôtres est touché signifie qu'en fait pas un seul juif n'a été touché.
Ce qui était vrai en 1980 reste vrai en 1995. Dans le cadre de leur
combat contre les nationalistes ou les révisionnistes, les juifs
touchent, blessent ou tuent mais ne sont ni touchés, ni blessés,
ni tués ; si cela avait été le cas, les médias du monde entier auraient
publié avec force commentaires des photographies (non suspectes)
qui en auraient attesté : juifs à il crevé, à face vitriolée, dans
le coma, déchiquetés, hospitalisés, transportés à la morgue, etc.
Imagine-t-on l'exploitation qui aurait été faite de ces horreurs
sur les cinq continents?
Charles
Bousquet, Mark Fredriksen
Le 3 octobre 1980, un attentat a lieu contre
la synagogue de la rue Copernic, provoquant quatre morts et vingt-sept
blessés. Les quatre morts sont des passants; parmi ceux-ci se trouve
une Israélienne dont la présence n'a jamais été expliquée. Christian
Bonnet, ministre de l'Intérieur, reçoit, dans la journée même, des
informations qui lui permettent d'identifier en la circonstance
un attentat palestinien mais, sous la pression des organisations
juives et avec l'accord de la grande presse, il laisse croire à
une action de l'extrême droite. On apprendra par la suite que l'attentat
a été effectivement commis par un Palestinien venu de Chypre. Le
soir même de l'attentat, les locaux de la FANE sont dévastés et
la Librairie française, rue de l'Abbé-Grégoire, fait l'objet d'une
nouvelle tentative d'incendie. Cette librairie, dont le propriétaire
est Jean-Gilles Malliarakis, connaîtra en quelques années plus de
dix attaques ou attentats. Le siège de l' uvre française, de Pierre
Sidos, est mitraillé. Des scènes de lynchage se déroulent dans Paris
où des groupes de manifestants juifs s'en prennent à de jeunes passants
isolés, grands, blonds et à cheveux courts (Le Monde, 9 octobre
1980, p. 12).
Le 7 octobre, à Neuilly, Charles Bousquet, 84
ans, est attaqué et vitriolé à son domicile par un groupe d'inconnus
qui l'ont apparemment confondu avec le militant nationaliste Pierre
Bousquet (sans rapport avec René Bousquet). Il sera hospitalisé
pendant un mois à l'hôpital Foch au service des grands brûlés. Il
conservera des séquelles de ses blessures. Il renonce à porter plainte
parce que son fils Pierre, professeur d'histoire à l'Université
de Paris IV, lui a demandé d'agir ainsi à cause des Israélites:
Ils sont à Jérusalem ou à Tel-Aviv, ceux qui ont fait cela. Tout
serait inutile. Je veux oublier (interview accordée à R. Faurisson
le 2 mai 1984).
Le 12 octobre 1980, Mark Fredriksen est roué
de coups et admis, dans un état grave, à l'hôpital de Rambouillet.
En son absence, son appartement est dévasté. En traitement à Berck-sur-Mer
pour de multiples fractures, il manque de subir une nouvelle agression;
trois jeunes gens se présentent qui demandent à le voir; leur signalement
correspond à celui du groupe Aziza qui, ultérieurement, vitriolera
Michel Caignet (voy. ci-dessous).
Le 20 octobre, l'écrivain André Figuéras est
attaqué à son domicile.
Michel
Caignet
Le 29 janvier 1981, Michel (Miguel) Caignet,
26 ans, étudiant préparant un doctorat de linguistique anglais-allemand,
quitte son domicile de Courbevoie pour se rendre à l'Université
lorsqu'il est abordé par quatre individus à proximité de son immeuble.
Ceux-ci le renversent, l'immobilisent. L'un des quatre individus
lui arrose de vitriol le visage et la main droite.
M. Caignet avait appartenu à la FANE et il était
révisionniste. Il avait été dénoncé par l'hebdomadaire VSD (Vendredi/
Samedi/Dimanche). A la suite du vitriolage, son visage est devenu
si atroce que seuls deux journaux ont osé en publier la photographie.
L'auteur principal de l'agression, Yves Aziza, étudiant en médecine,
fils de Charles Aziza (préparateur en pharmacie à Montreuil), a
été connu de la police dans l'heure même qui a suivi l'agression
mais la police et la justice françaises ont, dans des conditions
scandaleuses et dont le détail est connu, laissé tout le temps à
Y. Aziza de s'enfuir vers l'Allemagne et vers Israël. Au ministère
de la Justice, un dénommé Main, appartenant à la direction des Affaires
criminelles (directeur Raoul Béteille), élude sur un ton sarcastique
toute question sur le retard considérable (quatorze jours !) apporté
à l'ouverture d'une instruction judiciaire Parmi les correspondants
d'Y. Aziza, on découvre le nom de Daniel Ziskind, fils de Michèle
Ziskind, s ur de Jean-Pierre Pierre-Bloch, lui-même fils de Jean
Pierre-Bloch.
Pierre
Sidos
Le 18 septembre 1981, deux cents membres de l'
Organisation juive de combat (OJC) font la loi au Palais de justice
de Paris où se déroule le procès en diffamation intenté par Pierre
Sidos, président de l' uvre française, à Jean Pierre-Bloch. Comme
d'habitude, les juifs rouent de coups plusieurs assistants.
Le 25 novembre, les locaux de la librairie Études
et documentation sont incendiés par un commando.
Le 8 mai 1988, place Saint-Augustin à Paris,
des commandos de l'OJC attaquent à coups de barres de fer des militants
de l' uvre française qui participaient au défilé traditionnel en
l'honneur de Jeanne d'Arc; ils font une quinzaine de blessés, dont
deux très grièvement atteints. Quatre des personnes agressées seront
hospitalisées. Un septuagénaire restera plusieurs semaines dans
le coma. Dix membres de l'OJC sont interpellés par la police. Le
soir même, Jean-Pierre Pierre-Bloch intervient en leur faveur auprès
de la police judiciaire. Des poursuites sont engagées contre quelques
agresseurs. Certaines sont abandonnées avec la mention suivante
du juge d'instruction: Instruction inopportune; d'autres agresseurs
sont jugés non sans que des pressions venues du plus haut niveau
politique se soient exercées sur le parquet. Au total, seuls trois
agresseurs seront jugés; ils seront condamnés à deux ans de prison
avec sursis!
Olivier
Mathieu
Le 6 février 1990, des millions de téléspectateurs
ont pu assister à l'agression commise sur la personne d'Olivier
Mathieu lors d'une émission animée par Christophe Dechavanne. Jean-Pierre
Pierre-Bloch est venu sur le plateau avec un groupe de militants
de l'OJC. O. Mathieu a juste le temps de lancer : Faurisson a raison
. Une dizaine de nervis le rouent de coups ainsi que sa fiancée
et Marc Botrel. Un personnage important des milices juives est présent:
Moshe Cohen, ancien sous-lieutenant de l'armée israélienne, responsable,
à l'époque, du Tagar, la branche étudiante du Betar (59, boulevard
de Strasbourg, Paris Xe). Les agressions continuent en dehors du
plateau et jusque dans la rue. Un agresseur sera interpellé par
la police et relâché quelques heures plus tard sur l'intervention
de Jean-Pierre Pierre-Bloch.
Pierre
Guillaume
Pierre Guillaume, qui appartient à l'ultra-gauche,
est le responsable de la Vieille Taupe, qui a publié des ouvrages
révisionnistes, notamment du professeur Faurisson. Il a été la victime
d'un nombre important d'agressions, soit contre sa personne à la
Sorbonne, dans sa librairie de la rue d'Ulm, au Palais de justice
de Paris (où les gardes ne sont pas intervenus), soit contre ses
biens (dépôt de livres, matériel vidéo, librairie). En 1991, des
groupes de manifestants, principalement juifs, sont venus assiéger
sa librairie de la rue d'Ulm de façon régulière et ont fini par
obtenir la fermeture de cette librairie en 1992 à force de violences
diverses (bris de vitrine, injection de produits chimiques, intimidations
physiques et autres).
Les Amis
de Saint-Loup
Le 20 avril 1991, à la Maison des Mines, à Paris,
une cinquantaine d'individus se réclamant du Groupe d'action juive
(GAJ), armés de barres de fer et de battes de base-ball, attaquent
les participants d'un colloque organisé en hommage à l'écrivain
Saint-Loup (Marc Augier). On relève treize blessés, en majorité
des personnées âgées, dont deux très grièvement atteints. Juliette
Cavalié, 67 ans, évacuée vers l'hôpital Beaujon, y tombera dans
le coma pour une durée d'environ trois mois; reprenant conscience,
elle sera condamnée pour le restant de ses jours à ne plus pouvoir
s'alimenter seule ni marcher. Le journaliste Alain Léauthier, de
Libération , et proche de Julien Dray, député socialiste et maximaliste
juif, a assisté, de bout en bout, aux préparatifs et à la perpétration
de l'attaque. Il en fournit un compte rendu satisfait et ironique
(Un commando sioniste s'invite au meeting néo-nazi, Libération,
22 avril 1991, p. 28).
Robert Faurisson
Le professeur a été la victime de dix agressions
physiques entre le 20 novembre 1978 et le 31 mai 1993 (deux à Lyon,
deux à Vichy, deux à Stockholm et quatre à Paris). Sept de ces agressions
sont dues à des organisations ou à des milices juives françaises
(deux à Lyon, une à Vichy, une à Stockholm du fait de juifs français
venus par avion de Paris et associés à des juifs suédois, une à
la Sorbonne et une au Palais de justice de Paris).
Le 12 septembre 1987, à la Sorbonne, des membres
d'une milice juive ont attaqué Henry Chauveau (grièvement blessé),
Michel Sergent, Pierre Guillaume et Freddy Storer (Belge) ainsi
que le professeur Faurisson, tous blessés. Les gardes de la Sorbonne
ont appréhendé l'un des agresseurs. Un responsable, en civil, de
la police a fait relâcher l'agresseur et a utilisé la violence pour
expulser le professeur de l'enceinte de l'université. Rappelons
que R. Faurisson avait enseigné à la Sorbonne.
Le 16 septembre 1989, un guet-apens était tendu
à R. Faurisson près de son domicile, dans un parc de Vichy, par
un groupe de trois jeunes gens; sans l'intervention d'un passant,
il aurait été achevé à coups de pieds dans la tête. Blessé, il devait
subir une longue opération chirurgicale. L'enquête de la police
judiciaire confirmera que l'agression était imputable à de jeunes
activistes juifs parisiens. La veille de l'agression, R. Faurisson
avait noté avec surprise la présence, à proximité de ce parc, d'un
certain Nicolas Ullmann, né en 1963 ; le 12 juillet 1987, ce dernier
avait violemment frappé le professeur au Sporting-Club de Vichy.
A la police judiciaire, N. Ullmann, interrogé sur les raisons de
sa présence en ces lieux, donnait des réponses vagues et contradictoires;
en outre, il prétendait avoir participé, le jour même de l'agression,
à Paris, à un bal masqué, d'où l'impossibilité pour quiconque, sinon
son hôte et ami, d'attester de sa présence ce jour-là à Paris. Il
est à noter que le juge d'instruction de Cusset, près de Vichy,
n'a jamais convoqué le professeur pour l'entendre; ce juge, Jocelyne
Rubantel, ne l'a reçu dans son bureau, comme un criminel, que pour
lui signifier qu'elle demanderait un non-lieu. Ce qu'elle a obtenu.
Aucune perquisition n'a été opérée au siège du Betar/Tagar à Paris.
Une telle perquisition aurait causé trop de colère dans la communauté
juive.
Le 16 octobre 1989, soit un mois, jour pour jour,
après l'attentat de Vichy, une bombe explose devant la porte des
locaux du Choc du mois, à Paris, qui sont saccagés. L'attentat est
revendiqué par l'OJC et des groupes d'extrême gauche. Éric
Letty, qui avait consacré un article au professeur Faurisson, aurait
été tué par la bombe s'il n'avait pas, par miracle, décelé à temps
l'imminence de l'explosion.
La place nous manque pour évoquer ici les autres
agressions dont le professeur Faurisson a été la cible.
Autres
cas
De nombreux autres cas pourraient être cités
d'attaques ou d'agressions en groupe menées par des juifs: en plus
des cas répertoriés par l'article du Choc du mois pour les années
1976-1991, il faudrait prendre en considération les cas non répertoriés
et, enfin, des cas qui se sont produits depuis 1992.
Le 14 janvier 1988, à Lyon, le professeur Jean-Claude
Allard était hospitalisé à la suite d'une attaque en groupe revendiquée
par l'OJC qui lui avait tendu une embuscade sur le parking de l'Université
Lyon III; en juin 1985, il avait présidé le jury de la thèse du
révisionniste Henri Roques sur les Confessions de Kurt Gerstein
(thèse dont la soutenance a été annulée, fait sans précédent dans
les annales de l'Université française, sous la pression des juifs
en colère).
Le 13 avril 1994, lors d'une interruption de
séance au procès des houligans du Parc des Princes (l'un, au moins,
de ces houligans était juif), des miliciens juifs armés se livraient
à de nouvelles violences; pourtant, ces houligans avaient fait des
victimes parmi les policiers et non parmi des juifs. Les miliciens
s'étaient introduits au Palais de justice avec armes et barres de
fer; parmi leurs victimes allait figurer un garde du Palais. Détail
intéressant : aucune enquête n'a été décidée pour tirer cette affaire
au clair et la seule arrestation a été celle d'un des "militants
nationalistes" agressés et qui avait osé se défendre ( Les milices
juives font la loi , Le Libre Journal, 27 avril 1994, p. 9; voy.
aussi: Le Betar fait la loi au palais de justice, Rivarol, 22 avril
1994, p. 5).
Le 28 avril 1994, l'Allemand Ludwig Watzal, invité
officiel de l'Université de Nanterre, était frappé par des membres
d'organisations juives ou de gauche.
Les saccages de librairie ont été nombreux: en
plus de Bleu-Blanc-Rouge, d'Ogmios, de la Librairie française, de
la Librairie de la Vieille Taupe, on peut citer la Librairie Grégori
et la Librairie de la Joyeuse Garde (dans ce dernier cas, bris de
vitrine, glu empêchant l'ouverture du rideau de fer, excréments,
etc.). Des bureaux, des immeubles, une église (Saint-Nicolas-du-Chardonnet,
à Paris, le 21 décembre 1978), des expositions, un dépôt de livres
ont été la cible d'attentats revendiqués par des organisations juives.
Le lieu
le plus dangereux de France : le Palais de justice de Paris et ses
abords
Pour les victimes désignées de ces milices, la ville la plus dangereuse
de France est Paris. Dans Paris, l'un des arrondissements les plus
dangereux est le premier arrondissement. Dans cet arrondissement,
le point le plus dangereux est constitué par le Palais de justice
et ses abords immédiats. Pourtant, ce point est particulièrement
surveillé par la police puisque le Palais possède son commandement
militaire doté de centaines de gardes armés et puisque se trouve,
à côté du Palais, le Quai des Orfèvres, siège de la police judiciaire.
Mais, précisément, gardes et policiers ont, durant ces dernières
années, laissé se perpétrer de nombreuses violences, en particulier
contre les révisionnistes convoqués au tribunal ou venus assister
aux procès.
Quand une milice juive décide de faire irruption
au Palais, le scénario est invariablement le suivant : les nervis,
dont le comportement trahit les intentions belliqueuses, ne sont
en aucune manière tenus par les gardes à distance des victimes désignées;
aucun officier de la garde ne cherche à prendre contact avec le
meneur de ces troupes de choc pour lui signifier qu'aucune violence
ne sera tolérée ; on laisse les assaillants insulter, provoquer,
puis frapper; quelques gardes s'efforcent de protéger quelques victimes;
si un militant se signale par une extrême violence, trois gardes
l'emmènent précipitamment, puis le libèrent; les victimes sur lesquelles
pleuvent les coups ne peuvent ni faire interpeller les brutes, ni
connaître leur identité. Une fois que la milice a fait son uvre
et qu'elle s'éclipse, les gardes se portent vers les victimes ensanglantées
ou tuméfiées et affectent un comportement de nounous éplorées.
Le 9 mai 1995, un procès du professeur Faurisson
s'est déroulé sans la présence des milices en question. Rien de
surprenant à cela : l'avocat Jean-Serge Lorach, représentant les
associations parties civiles, déclarait dans sa plaidoirie qu'il
avait demandé aux survivants (et aux journalistes) de ne pas venir
assister au procès. Mais, en fait, le responsable du Betar/Tagar
était présent avec quelques complices devant la XVIIe chambre correctionnelle,
puis à la sortie du Palais de justice: Moshe Cohen, en personne.
A la sortie du Palais, il surveillait avec quatre hommes, dont l'un
muni d'un radio-téléphone, le professeur Faurisson, son avocat et
les personnes les accompagnant. Cette équipe disposait d'une voiture
banalisée (une R 19 immatriculée 356 JEK 75) rangée sur le trottoir
de la grande grille du Palais (en position de départ). Moshe Cohen,
l'homme de toutes les basses besognes du Betar/Tagar, était donc
là avec l'autorisation du commissaire du Ier arrondissement de Paris,
Robert Baujard, et avec l'assentiment du colonel Roger Renault,
commandant les gardes du Palais, lesquels avaient pour consigne
de répondre aux curieux que cette voiture appartenait à la police.
Collusion
du ministère de l'Intérieur et des milices juives
Mme Françoise Castro et son époux, Laurent Fabius, sont tous deux
juifs. En 1986, à l'époque où L. Fabius était le premier ministre
de la France, F. Castro a révélé que les milices juives et le ministère
de l'Intérieur travaillaient main dans la main. Elle a déclaré:
Extraordinaire nouveauté dans le comportement politique, la gauche
a permis à des milices juives de s'installer dans des quartiers
de Paris, mais aussi à Toulouse, à Marseille, à Strasbourg [et d'avoir]
des contacts réguliers avec le ministre de l'Intérieur (Le Monde,
7 mars 1986, p. 8).
Par une sorte d'assentiment général il semble convenu que les juifs
doivent être traités en France comme une minorité privilégiée, dont
il faut excuser la colère (ce mot revient de façon lancinante dans
la presse). Leurs milices sont les seules en France à bénéficier
du droit d'être armées (voy. la photographie d'un juif armé d'un
pistolet mitrailleur sur le toit d'un immeuble de la rue de Nazareth,
Libération , 14 octobre 1986, p. 56). La police judiciaire française
est paralysée dans ses enquêtes sur les crimes commis par ces milices
( les jeunes activistes juifs parisiens , comme il lui est arrivé
de les appeler pudiquement).
En France, ces milices jouissent d'une garantie
d'impunité au moins partielle. Le pire que ses membres aient à craindre
est d'avoir à s'exiler pour un temps en Allemagne ou en Israël.
Les apologistes
de la violence juive
Simone Veil, ancien secrétaire général du Conseil
supérieur de la magistrature et ancien ministre, présente l'exemple
même de ces personnes de la communauté juive française qui incitent
à l'assassinat. En 1985, à propos de Klaus Barbie, elle a déclaré
: Écoutez, très sincèrement, je crois que je n'aurais pas
été choquée par une exécution sommaire [de Klaus Barbie] (Le Monde
, 24 décembre 1985, p. 14). Elle a récidivé le 22 avril 1992, lors
d'une émission de la seconde chaîne de télévision consacrée à :
Vichy, la mémoire et l'oubli , où elle a déclaré à propos du procès
Touvier qui l'avait déçue (malgré la condamnation d'un octogénaire
cancéreux à une peine de prison à vie): Si on voulait un procès
dans lequel on parle vraiment des choses, qui ne se termine pas
comme le procès Touvier, eh bien, il aurait fallu au fond que quelqu'un,
comme moi par exemple, à un moment quelconque froidement assassine
quelqu'un . Cet assassin aurait alors été en mesure, selon S. Veil,
d'expliquer publiquement les raisons de son acte. S. Veil a, une
nouvelle fois, récidivé en 1994 à l'occasion de l'assassinat de
René Bousquet, perpétré par un illuminé enivré d'appels à la vengeance
qui se multipliaient dans toute la presse française et dans les
milieux juifs, lorsqu'elle a déclaré: D'ailleurs, si j'avais eu
du courage, je serais allée le tuer moi-même (Globe Hebdo, 11-17
mai 1994, p. 21).
Le 14 décembre 1992, sur les ondes d'une radio
américaine, on a pu entendre le professeur Pierre Vidal-Naquet déclarer
en anglais: Je hais Faurisson. Si je le pouvais, je le tuerais personnellement.
La liste serait longue des déclarations incendiaires
de responsables juifs français appelant à la violence physique.
L'assassinat politique est une pratique à laquelle les juifs ne
répugnent guère. Sur le sujet, on peut lire le récent ouvrage de
Nachman Ben-Yehuda, Political Assassination by Jews, A Rhetorical
Device for Justice , New York, State University of New York Press,
1993, XXII-527 p. On sait le rôle considérable joué par les juifs
dans la Révolution bolchevique: Lénine et Trotsky n'étaient que
les deux juifs les plus sanguinaires de la police politique des
bolcheviks. En France, le chant des partisans a été écrit par deux
juifs, Joseph Kessel (1898-1979) et Maurice Druon, tous deux membres,
par la suite, de l'Académie française; le refrain de ce chant est
connu: Ohé! Les tueurs à la balle et au couteau / Tuez vite!
Le cas
des époux Klarsfeld
Dans sa Lettre à un képi blanc (Robert Laffont, 1975), Bernard Clavel
écrit: La guerre empoisonne la paix. Regarde cette Allemande, Beate
Klarsfeld, qui passe sa vie dans la haine, qui n'existe que pour
la vengeance (p. 93).
A la suite de l'inculpation de Kurt Lischka,
à Cologne, Serge Klarsfeld déclarait le 24 juillet 1978, lors d'une
conférence de presse tenue à Paris: Nous ne cherchons pas la vengeance.
Si tel était notre but, il nous aurait été facile d'abattre tous
les criminels nazis dont nous avons retrouvé la trace Et si le tribunal
de Cologne refusait de juger Lischka? lui demande-t-on. Réponse
de S. Klarsfeld : Ce serait en quelque sorte signer son arrêt de
mort (Le Monde, 26 juillet 1978, p. 4).
En 1982, les Klarsfeld louaient les services
d'un sicaire, un socialiste bolivien d'origine indienne, du nom
de Juan Carlos, pour assassiner Klaus Barbie (Life , février 1985,
p. 65) mais l'opération devait échouer.
En 1986, Beate Klarsfeld se laissait aller à
des confidences dans un journal américain : [elle raconte] comment
elle a pourchassé au moins trois anciens Nazis jusqu'à ce qu'ils
se suicident ou meurent ; comment elle a organisé des tentatives
pour en kidnapper d'autres; comment elle a eu recours à des trucs
pour obtenir de la presse des gros titres permettant de traîner
en justice des gens convaincus que le monde les avait oubliés ou
permettant de ruiner leur carrière. [Elle raconte] comment elle
a giflé en public le chancelier [allemand] Kurt Kissinger en 1968.
Une fois, avec plusieurs amis, elle avait essayé de kidnapper Kurt
Lischka mais la voiture prévue n'avait malheureusement que deux
portes au lieu de quatre. Quant à Ernst Ehlers, harcelé par les
manifestations que les Klarsfeld organisaient devant sa maison,
il a d'abord démissionné de son poste [de juge], puis il s'est suicidé
. Les Klarsfeld avaient retrouvé la trace de Walter Rauff au Chili;
ils manifestèrent devant son domicile et brisèrent ses fenêtres.
L'homme mourut quelques mois plus tard. J'étais heureuse parce qu'aussi
longtemps que ces gens vivent, ils constituent une offense pour
leurs victimes . Mon mari et moi, nous ne sommes pas des fanatiques
[ ]. Un jour, mon mari a placé un pistolet sur la tempe de Rauff
juste pour lui montrer que nous pouvions le tuer, mais il n'a pas
appuyé sur la détente (The Chicago Tribune, 29 juin 1986).
En 1988, S. Klarsfeld déclarait : Personne ne s'est vraiment mobilisé
contre Le Pen. Il aurait fallu provoquer des affrontements pour
[ ] qu'il aille jusqu'au bout de ses positions (Le Soir (de Bruxelles)
d'après Rivarol, 1er juillet 1988, p. 5).
En 1990, lors de la convention de l'Union des
étudiants juifs de France se tenant à Lyon où avait enseigné le
professeur Faurisson et où enseignait encore Bernard Notin, S. Klarsfeld
déclarait aux étudiants: Dans votre vie de juif, passez aux actes
pour défendre la mémoire, pour défendre l'État juif (Le Progrès
de Lyon , 2 novembre 1990, p. 6).
En 1991, Beate Klarsfeld s'introduisait en Syrie
avec de faux papiers pour renouveler devant le domicile supposé
d'Aloïs Brunner (déjà défiguré et sans presque plus de doigts aux
mains à la suite de l'explosion de lettres piégées) le type d'opération
mené devant les domiciles d'anciens nationaux-socialistes ou devant
le domicile (fracturé, pillé et dévasté) de Paul Touvier en 1972.
En 1992, les Klarsfeld organisaient ce que Le Monde appelait L'équipée
sauvage du Betar à Rostock semant la terreur sur la place centrale
de l'hôtel de ville de Rostock, drapeaux français et israéliens
déployés, traitant les passants de "sales Allemands, sales nazis
!" (Le Monde , 21 octobre 1992, p. 4).
Beate Klarsfeld approuvait ensuite l'attaque
de l'Institut Goethe à Paris par le Betar et y voyait une violence
légitime parce que les policiers de Rostock avaient interpellé quelques
agresseurs, pour les relâcher (Der Standard (Vienne), 23 octobre
1992). On avait relevé neuf blessés parmi les policiers dont plusieurs,
battus à coups de battes de base-ball et de barres de fer et aspergés
de gaz de défense, avaient dû être hospitalisés.
Le 8 juin 1993, René Bousquet, ancien secrétaire
général de la police à l'époque du Gouvernement de Vichy, puis déporté
par les Allemands, était abattu à son domicile parisien par un illuminé;
ce dernier, régurgitant des propos à la Klarsfeld, expliquait son
geste comme celui d'un justicier qui, auparavant, avait cherché
à abattre Paul Touvier. Annick Cojean, du journal Le Monde, écrivait
à propos de S. Klarsfeld : N'était-il pas le pourfendeur de Bousquet?
Celui qui l'a traqué, poursuivi, attaqué, contraint de démissionner
de toutes ses responsabilités entre 1978 et 1989? Et ne lui a-t-on
pas [par cet assassinat] volé ainsi un procès attendu, préparé de
longue date? -- L'avocat sourit doucement : Pourquoi le nier ? Ce
que j'éprouve aujourd'hui, c'est avant tout du soulagement. Et tant
pis si cela va à l'encontre des intérêts de la cause ! Je ne peux
pas souhaiter la vie de ces gens-là. C'est plus fort que moi (Le
Monde , 10 juin 1993, p. 28).
Déjà, le 16 septembre 1989, en apprenant l'attentat
perpétré contre le professeur Faurisson, S. Klarsfeld avait déclaré
sur les ondes de Radio J (J pour juive):
Ce n'est pas tellement surprenant car quelqu'un
qui provoque depuis des années la communauté juive doit s'attendre
à ce genre d'événement. On ne peut pas insulter la mémoire des victimes
sans qu'il y ait des conséquences. C'est quelque chose, je dirais,
de regrettable peut-être, mais de normal et de naturel.
Beate Klarsfeld, de son côté, affirmait:
Quoi de plus normal que quelques jeunes gens
se soient peut-être mis en colère et aient essayé de donner une
leçon à Faurisson? (Le Monde, 19 septembre 1989, p. 14).
L'avocat S. Klarsfeld, officier de l'Ordre national du mérite, n'a
jamais caché son goût pour l'action violente dès lors qu'il estime
avoir affaire à ceux qu'il appelle des criminels . Son recours au
mensonge et au chantage, il ne le cache pas non plus (voy. Arno
Klarsfeld, Pourquoi je suis juif , Information juive, juin 1994,
p. 9, et S. Klarsfeld, Lettre à François Mitterrand, Libération
, 12 septembre 1994, p. 6, où se lit la phrase suivante adressée
au président de la République : D'où m'est venue l'insolence d'évoquer
seul votre passé à Vichy et de vous manipuler [par une fausse information]
pour vous diriger dans le bon sens : une lecture vraie des crimes
consentis par Vichy? ).
En 1989, à la suite de l'attentat dont il avait été la victime à
Vichy, le professeur Faurisson avait confié au Choc du mois (décembre
1989, p. 42-43) des réflexions qui, avec le recul du temps et, en
particulier, avec l'assassinat de R. Bousquet, prennent un certain
relief comme, par exemple, celle-ci: [ ] il est aisé [pour les Klarsfeld
ou tel conseiller d'ambassade israélien à Paris] d'échauffer les
esprits et de susciter l'action de justiciers. Le professeur concluait
:
J'estime [ ] qu'il existe un terrorisme juif
; il est gémissant; les gémissements couvrent les bruits des coups
et les cris des victimes [ ]. Pour me faire taire, il faudra me
tuer. Une foule de révisionnistes, en France et à l'étranger, prendra
alors la relève.
Violences
autres que physiques
La présente recension porte sur les violences
physiques perpétrées par les milices juives. Elle prouve que, dans
notre pays, la communauté juive, heureuse comme Dieu en France (proverbe
yiddish), bénéficie de privilèges exorbitants.
Des violences qui ne sont pas physiques illustreraient
tout aussi bien ces privilèges. Ne prenons que deux exemples : à
l'Université Lyon II, Robert Faurisson et, à l'Université Lyon III,
Bernard Notin avaient le droit -- incontestable aux yeux de la loi
-- d'exercer leur métier et de reprendre leurs cours. Le Dr Marc
Aron en a décidé autrement et, avec lui, des organisations comme
l'Union des étudiants juifs de France qui, cyniquement, ont déclaré
que pour eux jamais plus ces enseignants ne pourraient travailler.
Se sont pliés à cet oukase, sans un murmure, tous les présidents
de la République successifs, tous les premiers ministres, tous les
ministres de l'Éducation, tous les présidents d'université
et tous les syndicats. R. Faurisson a appris, par un courrier ordinaire,
plusieurs mois après la décision et sans aucune forme d'explication,
que sa chaire de professeur, dont il était titulaire, avait été
supprimée. Quand, en juin 1994, Bernard Notin a cru trouver une
issue et lorsque Le Monde a annoncé : Bernard Notin part enseigner
au Maroc (9 juin 1994, p. 14), on a pu lire que l'annonce de son
départ pour l'Université d'Oujda avait provoqué une réaction "scandalisée"
de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) qui demande l'annulation
de la convention signée entre les deux établissements [français
et marocain] et "la radiation définitive de M. Notin du corps enseignant"
(Le Monde , 11 juin 1994, p. 6). Dans la grande presse, pas une
voix ne s'est élevée pour faire remarquer que le Dr Marc Aron et
ses institutions ou organisations enfreignaient gravement les droits
de fonctionnaires, entravaient la liberté de travail et causaient
un dommage considérable non seulement à des individus mais au fonctionnement
normal des institutions de ce pays. Le Dr Marc Aron et ses milices
sont obéis dans la crainte et le tremblement. En un premier temps,
ils veillent à ce que les professeurs qui suscitent leur colère
ne puissent plus exercer leur métier ; en un second temps, ils peuvent
compter sur Le Canard enchaîné pour dénoncer le scandale de ces
professeurs qui sont payés (à la portion congrue) et ne travaillent
pas !
Les représentants de la communauté juive et leurs organes de transmission
triomphent dans la répression judiciaire ou médiatique. La force
injuste de la loi s'exerce au profit de cette communauté et aux
dépens de gens qualifiés d' antijuifs ; ceux-ci, pour le moindre
mot, pour la moindre pensée jugés hérétiques, se voient lourdement
condamner. Amendes, dommages-intérêts, peines de prison brisent
les vies, détruisent les ménages, accablent les enfants. Les médias,
dont jamais ne sèchent les glandes à venin, apportent leur contribution
à cette hystérie vengeresse.
A l'étranger, le terrorisme juif semble présenter les mêmes caractéristiques
: excepté dans le cadre particulier de la guerre judéo-palestinienne,
les juifs se comportent en agresseurs sans être, de leur côté, physiquement
agressés par aucun groupe antijuif ou réputé tel.
CONCLUSION
Pour la période ici prise en considération (1976-1995),
la France n'a jamais connu de groupes, de commandos ou de milices
qui aient exercé des violences physiques sur les juifs (les attentats
arabo-palestiniens sont une autre affaire). Mais cette évidence
semble échapper aux observateurs politiques de toutes tendances.
Le bilan est, jusqu'ici, le suivant : d'un côté, une cinquantaine
d'agressions organisées et perpétrées par des milices armées avec,
pour résultat, des centaines de victimes et, de l'autre côté, des
agressions physiques et des victimes dont le total s'élève à zéro
!
Avec le Betar/Tagar, la minorité juive française possède, en accord
avec le ministère de l'Intérieur, des formations paramilitaires
dont l'équivalent n'existe pour aucune autre partie de la population
française ni pour aucune autre minorité étrangère sur le sol de
la France.
Ainsi que le notait Le Choc du mois dans son
dossier sur ces milices (juin 1991, p. 11), la cinquième chaîne
de télévision française diffusait, le 4 avril 1990, un reportage
sur les militants du Betar/Tagar. Un étudiant y était vu se faisant
tabasser par les Tagarim à la sortie de la Faculté d'Assas, à Paris.
Le 18 mai 1990, la même chaîne de télévision diffusait un second
reportage consacré à l'entraînement, calqué sur celui du soldat
israélien , que les militants du Betar/Tagar recevaient deux fois
par semaine dans un château des environs de Sarcelles (banlieue
parisienne): exercices paramilitaires et entraînement au combat
rapproché sous les plis du drapeau israélien. En soi, des exercices
de ce type peuvent constituer une sorte de simulacre ou de cinéma
pour des esprits faibles mais, avec le Betar/Tagar, ces activités
trouvent leur expression soit dans des attentats criminels, soit
dans des actions de commandos qui bénéficient de l'appui du ministère
de l'Intérieur, du soutien (dans les faits sinon dans les paroles)
de ligues ou d'organisations dites antiracistes et d'un traitement
de faveur de la part des médias.
Annie Kriegel dénonçait en 1990 une insupportable
police juive de la pensée (Le Figaro , 3 avril 1990, p. 2, et L'Arche
, avril 1990, p. 25). Effectivement, cette police a force de loi
grâce au rabbin Sirat, qui a lancé l'idée d'une loi antirévisionniste
(Bulletin de l'Agence télégraphique juive, 2 juin 1986, p. 1), et
grâce à Laurent Fabius qui a pu revendiquer à juste titre l'initiative
parlementaire du vote de cette loi [Note : François Cordier, substitut
du procureur de la République, vient de requérir, le 9 mai 1995,
une peine de trois mois d'emprisonnement ferme à l'encontre de Robert
Faurisson sur le fondement de la loi Sirat-Fabius-Gayssot, du 13
juillet 1990; le professeur est, en effet, coupable de contester
l'existence des chambres à gaz nazies. Le jugement sera rendu le
13 juin 1995 par la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris.]
Le répugnant montage médiatique organisé autour de la profanation
de tombes juives dans le cimetière de Carpentras (profanation dans
laquelle semble impliqué le fils d'un officiant de synagogue) a
paralysé toute opposition au vote final de la loi Sirat-Fabius-Gayssot.
Mais, à côté de cette insupportable police de
la pensée, il existe en France une insupportable police armée, de
style israélien, qui s'exerce à force ouverte.
Le 7 mai 1995, à Toronto (Canada), la maison
du révisionniste Ernst Zündel a été dévastée par un incendie criminel.
Quelques jours plus tard, le même E. Zündel recevait un colis piégé
(finalement remis à la police, qui l'a fait exploser). Bien d'autres
exemples de cette violence -- précédée d'une haineuse campagne de
presse -- seraient à signaler. Sur le sujet, on lira la brochure
de Mark Weber: The Zionist Terror Network / Background and Operation
of the Jewish Defense League and other Criminal Zionist Groups /
A Special Report, Institute for Historical Review (P.O. Box 2739,
Newport Beach, Ca. 92659, USA), Revised and Updated Edition, 1993.
En France, de telles violences risquent de se multiplier, si la
minorité juive continue à disposer de milices armées.
Nous réclamons la fin du privilège dont bénéficie cette communauté.
En attendant que soit prise une décision politique
en ce sens, nous exigeons, à titre de première mesure d'urgence,
que le Palais de justice de Paris et ses abords immédiats soient
interdits à tout groupe ou à tout responsable de groupe (à la Moshe
Cohen) dont les intentions terroristes sont manifestes. Il est inadmissible
qu'une certaine catégorie de justiciables et les personnes qui les
accompagnent aient à redouter de passer directement des environs
de la XVIIe chambre correctionnelle (présidée par Martine Ract-Madoux
ou Jean-Yves Monfort) ou de la XIe chambre de la cour d'appel (présidée
par Françoise Simon ou Violette Hannoun) à l'hôpital. Il est odieux
que des responsables de milices campent à demeure au Palais avec
tous les privilèges accordés aux membres des différents corps de
la police nationale. Les petits nazillons ont reçu la raclée qu'ils
méritaient devant le Palais de justice , lançait en 1980 Jean Pierre-Bloch
à propos de lynchages qui s'étaient produits dans et devant le Palais
de justice (Libération , 24 septembre 1980). Personne ne peut prétendre
ignorer ces violences physiques que le président de la LICRA approuvait
publiquement il y a quinze ans et qui, depuis quinze ans, se reproduisent
avec la complicité des forces de l'ordre . Depuis quinze ans, ni
les magistrats, ni les avocats, ni leurs syndicats respectifs n'ont
exigé que cesse cet état de fait qui déshonore la justice française.Quant
au dénommé Moshe Cohen, il serait temps de lui rappeler les déclarations
qu'il a faites à L'Événement du jeudi (26 septembre 1991),
et selon lesquelles tout juif aurait ses racines et son avenir en
Israël et serait ainsi, en France, une personne déplacée (sic ).
A près de cinquante ans, M. Cohen qui, à l'heure même où nous écrivons,
est en Israël avant de revenir en France, serait bien inspiré de
faire définitivement son aliyah, c'est-à-dire, sa montée (sic) en
Israël.
Le présent texte, fondé sur une documentation
fournie par le professeur Faurisson, a valeur d'avertissement et
de mise en garde. Il s'adresse aux autorités françaises et, en particulier,
à celles qui portent les dix noms de la liste ci-dessous. Traduit
en anglais, il sera diffusé auprès d'instances internationales.
Destinataires:
Jacques CHIRAC, président de la République,
Jacques TOUBON, ministre de la Justice,
Jean-Louis DEBRÉ, ministre de l'Intérieur,
Pierre DRAI, premier président de la Cour de cassation de Paris,
Myriam EZRATTY, premier président de la Cour d'appel de Paris,
Colonel Roger RENAULT, commandement militaire du Palais de justice
de Paris,
Robert BAUJARD, commissaire de police du premier arrondissement
de Paris,
Moshe COHEN, responsable du Betar/Tagar,
Henri HAJDENBERG, président du Conseil représentatif des institutions
juives de France (CRIF),
Jean-Marc SAUVÉ, secrétaire général à la Censure et du gouvernement.
Pièces jointes (à diffusion restreinte):
Entretien avec le professeur Faurisson, Le Choc du mois, décembre
1989, p. 42-43,
Milices juives / Quinze ans de terrorisme, Ibid. , juin 1991, p.
7-13,
Ces milices qui sèment la terreur, Ibid., avril 1992, p. 37-39,
Photographies: M. Fredriksen à l'hôpital; M. Caignet vitriolé; R.
Faurisson à l'hôpital; Juliette Cavalié avant de sombrer dans le
coma; Tabassage par un groupe de juifs; Homme à kippa armé d'un
pistolet mitrailleur, à Paris .
Sous presse: Emmanuel Ratier, Les Guerriers d'Israël (Enquête sur
les milices sionistes), Facta (37, rue d'Amsterdam, 75008 Paris),
1995, 416 p., 195 F (+ 30 F pour l'envoi).
P.S. Dans la presse de la communauté, les appels à la violence physique
sont monnaie courante ; à ce titre, voici la citation de la semaine:
Jacques Kupfer, président du Herout de France, a, quant à lui, une
idée précise de la riposte juive au FN: "Je n'ai jamais considéré
que l'antisémitisme se réglait à coup de communiqués ou de discussions
philosophiques, dit-il. Mais je sais comment on règle le problème
des antisémites: d'une manière très physique. La jeunesse juive
doit être prête à cela: il ne faut ni pleurer, ni craindre, ni se
lamenter" [ ] (Arié Ben Abraham, Le Pacte communautaire, Tribune
juive, semaine du 25 au 1er juin 1995, p. 15)
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